Le tapage nocturne, ou en est-on ? 🌃🔇

Le tapage nocturne est une incivilité qui se définit comme suit d’après le code pénal (R623-2) : « Les bruits ou tapages injurieux ou nocturnes troublant la tranquillité d’autrui ». Ils sont une atteinte à la tranquillité publique, entre 22h et 7h. Le tapage nocturne est sanctionné par la loi d’une amende de 68€. Celle-ci peut être majorée jusqu’à 180€ si payée en retard, et entraîner confiscation de l’objet utilisé pour générer le tapage. Pour commettre cette infraction, il faut que l’émergence du bruit perçu par autrui (c’est-à-dire la différence entre le niveau sonore moyen avant et après le tapage) soit supérieure à 5 dB(A) en période diurne et 3 dB(A) en période nocturne, valeurs auxquelles s’ajoutent de légères variations en fonction de la durée (d’après le code de la santé publique R1336-7). 

Les nuisances sonores générées lors d’un tapage nocturne peuvent avoir des conséquences néfastes sur ceux qui les entendent. Elle peuvent générer des troubles auditifs, des troubles du sommeil, de la fatigue chronique. Indirectement, elles augmentent les risques d’accident de travail.

En 2002, La communauté européenne a imposé à ses Etats membres de prendre en compte la gestion du bruit dans l’environnement dans leurs politiques avec la directive européenne 2002/49/CE sur le bruit dans l’environnement. Chaque état est responsable de mettre en place ce dispositif sur son territoire. En France, des lois existent pour encadrer le problème des nuisances sonores, de jour comme de nuit. Cependant certaines mairies vont plus loin, comme celle de Nantes. Cette ville a interdit les livraisons en scooter thermique après 11h30. Un autre exemple est Montpellier qui interdit les scooters thermiques roulant à plus de 30km/h. Ces lois ne s’appliquent pas aux scooters électriques qui peuvent continuer leur activité en toute tranquillité. D’autres villes comme Paris par exemple, ont décidé d’aborder le problème d’une façon différente. Leur solution : proposer des aides pour l’achat de solutions électriques.

Il est vrai que les 2 roues thermiques font énormément de bruit. Cela peut aller jusqu’à 90 décibels pour certains modèles à grosse cylindrée. Pour comparaison, un marteau piqueur, dans un rayon de 5 mètres, génère des bruits à environ 110 décibels. Ces nuisances sont un vrai handicap pour les riverains, car les livraisons s’enchainent à chaque service jusque tard dans la nuit. Elles peuvent desservir l’image de marque de certaines enseignes dans leur ville.

Pourtant il existe une solution simple et en plein essor pour pallier ce problème : le scooter électrique.

En effet, ce type de véhicule est complétement silencieux. En plus de n’émettre aucune pollution atmosphérique de par son fonctionnement 100% électrique (aucune émission de CO2), le scooter électrique n’émet aucune pollution sonore ni olfactive, au plus grand plaisir des riverains et des collectivités, qui les accueillent à bras ouverts.

Bien que ce type de véhicule soit plus cher à l’achat, il va couter peu cher en entretien et être largement rentable sur le long terme. L’électrique dispose de moins de pièces, et ne nécessite pas de combustion, vidange, lubrifiant, essence etc., réduisant l’usure du véhicule et son risque de casse par 3.

Chez U’MOB, vous pourrez retrouver nos 2 derniers modèles de scooters électriques pour professionnels :

• L’Infinity Pro : Robuste et maniable, il est équipé d’un châssis 125cc. Equipé de 2 batteries amovibles et cumulables et d’autres équipements innovants.
• Le Compact Pro : Léger, fiable et économique, il est parfait pour les hyper centres.

U’MOB, c’est aussi un accompagnement personnalisé, une maintenance trimestrielle et des entretiens des véhicules à domicile, ainsi qu’une multitude de services comme la personnalisation des véhicules ou encore leur géolocalisation, pour s’adapter aux besoins de chaque professionnel. 420

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